7 octobre 2011
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Toujours le festival....
Sans hésitation cinq coquillages à ce pur moment d’émotion. Pourtant
la copie était mauvaise, pourtant mes amis Anne, Armelle et Patrice ont émis des réserves, ils ont trouvé ce film un peu simpliste et l’attitude de la petite Lou peu crédible.
J’ai, au contraire trouvé, que le côté cas social « cassosse » est traité de façon délicate et
peu vue au cinéma. La mère a eu ses enfants trop jeunes et leur en veut de ne pas pouvoir mener sa vie de femme, mais ce n’est pas pour autant une mauvaise mère. Son aînée Lou va accepter que son
grand père, atteint d’un débit d’Alzheimer, la confonde avec sa femme pour pouvoir fuir sa famille ou rien ne va bien.
Le jeu des enfants est remarquable et John Hurt en grand père qui perd la boule est superbe.
Tout est délicat dans ce film, les images sont belles les personnages crédibles pas de « happy
end » mais une fin normale : un retour vers sa mère et sa vie, en espérant que Lou garde en elle son envie d’ailleurs et qu’elle fasse ce qu’il faut pour le réaliser.
5 octobre 2011
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20:30
Suite du festival ....
Oui vous avez bien lu , le réalisateur est le fils de Ken…
Première vraie déception. C’est un bon sujet : des enfants anglais envoyés en Australie de 1945 à 1967
et qui ont souffert dans des orphelinats religieux. Deux scandales, l’attitude du gouvernement britannique qui n’avait pas le droit d’envoyer des enfants aussi loin de leur famille et l’attitude
de l’Australie qui a martyrisé et exploité ces enfants.
Mais à partir de là, si le film rend bien compte de ce qui s’est passé, il est très long et
larmoyant au possible. C’est un mauvais film rempli de bonnes intentions. On dirait du cinéma américain.
5 octobre 2011
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20:17
Suite du festival ....
Si vous voulez comprendre de l’intérieur et dans le détail la vie des homosexuels allez voir ce film. Ce n’est pas un très bon moment de cinéma, car c’est très bavard et
monocorde. On s’ennuie beaucoup. Pourtant c’est un film très honnête et qui cerne bien la personnalité des deux personnages. Leur sensibilité est finement décrite, on comprend très bien leur
façon de comprendre le monde.
Ils passent beaucoup de temps à boire et à se droguer .
5 octobre 2011
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Suite du festival ....
Deuxième film et encore un bon moment. Une histoire d’amour sur fond de musique rock de qualité. Le festival d’Edimbourg, que personnellement je préfère
découvrir au cinéma que dans la réalité, drogue, alcool, bruit, foule, boue, au cinéma ça passe dans la réalité je ne crois pas.
J’ai beaucoup aimé l’idée de départ : deux chanteurs qui se détestent et qui ont un esprit très
caustiques sont réunis par des menottes, mais je n’ai pas trouvé que cela ait donné de très bons gags. C’est pourquoi je n’ai mis que3 coquillages
Si et seulement si vous détestez le rock évitez ce film, pour tous les autres allez-y c’est un film
sympathique.
5 octobre 2011
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19:36
Début du festival
Premier film du festival et très bon cru. Que tous les lecteurs et
toutes lectrices de roman policiers se précipitent, ils et elles vont retrouver tout ce qui charme leur nuit. Un flic alcolo et désabusé, une enquête avec des méchants et des pourris.
Un agent du FBI noir, intelligent et intègre qui finira par apprécier notre flic pas très
conventionnel
C’est peut être un peu banal mais c’est bien filmé, drôle et très humain. Ceux qui ont la chance de bien
parler anglais vont se régaler avec les différents accents, anglais, irlandais, gallois et américain.
Succès assuré, large public. Et des scènes vraiment drôles.
4 octobre 2011
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18:02
Désolée pour mes amis les livres , mais pendant cinq jours je vais m'enfermer avec délice dans les salles
obscures de Dinard.
Heureusement , la météo annonce la fin de l'été , mais même le soleil ne m'empêcherait pas d'aller voir mes
4 à 5 films quotidiens .....
J'essaierai d'en rendre compte chaque soir sur mon blog si je ne suis pas épuiséee. La postion assise , ça
fatigue!!